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Déjeuner d’affaires à la française : ma version revisitée avec des lieux privés et chaleureux

  • Photo du rédacteur: Housias
    Housias
  • 9 sept.
  • 2 min de lecture

Le restaurant est une bonne première étape

[je vous donne quelques conseils juste en dessous]



Mais imaginez : un lieu intimiste, un appartement ou une maison privatisée, à la campagne ou en plein cœur de la ville. Un décor qui reflète votre univers, une table dressée rien que pour vous et vos invités. Chacun apporte sa bouteille, circule librement, partage un repas, et repart quand il veut… le tout encadré par un maître de séminaire pour faciliter les échanges.


Laissez quelqu’un d’externe guider vos participants : plus de simplicité, plus de spontanéité, et une expérience vécue pleinement.


Dites-moi qui inviter (vos clients ? vos collaborateurs ?) et je réserve un lieu proche de vos invités, frigo rempli, décoration installée, table préparée, questions prévues… laissez-vous guider tout est préparé.



Mais si vous souhaitez réserver un restaurant, je vous glisse quelques conseils issus de mes expériences :


  1. Choisir le bon cadre : Évitez la table au milieu de cinq autres. Privilégiez un espace privatisé, une alcôve, un coin calme, ou même une salle avec rideaux pour créer de l’intimité et pouvoir vraiment s’entendre.


  2. Privilégier les petites tablées : 10 participants max, autour d’une table pas trop large.


  3. Faciliter les échanges: Un “maître de séminaire” est précieux pour lancer les discussions et maintenir une bonne dynamique. Le tour de table, avec quelques questions précises sur la vie et le travail, est un excellent compromis pour briser la glace.


  4. Préparer des sujets au cas où : Avoir sous la main une liste de thèmes ou de questions peut être utile… mais seulement si la conversation s’essouffle. Laisser la spontanéité primer, tout en ayant un filet de sécurité.


  5. Soigner les détails: Un carton d’invitation personnalisé, une décoration spécifique...ces attentions font toute la différence et montrent à chacun qu’il compte vraiment.



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